Laurastar dans la maison de rêve du film « Parasite », le grand vainqueur des Oscars 2020

Les éloges affluent du monde entier pour ce chef-d'œuvre du réalisateur sud-coréen Bong Joon-ho. A commencer par le Festival de Cannes en 2019 où il reçoit la Palme d'Or à l'unanimité, puis en 2020 aux Golden Globes et aux BAFTA, les prix de meilleur film en langue étrangère et meilleur scénario original. Les Oscars couronnent ce succès de la récompense suprême, lui remettant les très convoités titres de meilleur film, meilleur long métrage international, meilleur réalisateur et meilleur scénario original. Une étape marquante puisque, de toute l’histoire de cette cérémonie traditionnellement plutôt favorable au cinéma américain, c’est la première fois qu’un film d'un réalisateur sud-coréen remporte l'Oscar du meilleur film. Il est aussi le premier film dont la distribution est essentiellement asiatique. Parasite est une réalisation qui fait l’unanimité tant pour son histoire, sa mise en scène, ses personnages, son jeu, son montage que par sa cinématographie tout entière.

En amont de l’histoire aussi fascinante que dérangeante, il y a d’abord un décor. Frappant, omniprésent. Celui de cette villa ultra-moderne, belle, lumineuse, épurée, idéale, à l’image de la famille Park qui l’habite, très aisée, chantre du style contemporain et tendance. Conçue et construite sur-mesure pour le film, tout y donne une impression de luxe, de confort et de perfection. Les pièces sont vastes, les ouvertures larges, la lumière y plane joliment.

D’une apparente perfection, la maison, signée de l’architecte Namgoong Hyeonja, lui aussi fictif, donne l’impression de tout laisser voir quand l’intrigue à l’inverse nous apprend ce qui s’y camoufle. Les secrets se nichent dans des recoins invisibles de prime abord, un univers composé de lignes droites, de cubes et de verticalité. Les escaliers y jouent un rôle prépondérant et « métaphorique » (terme récurrent dans le film) de la hiérarchie des statuts sociaux : il y a ceux qui les montent et ceux qui les descendent, ceux qui vivent en haut et ceux qui vivent en bas et la maison toute entière se parcourt dans cette même logique.

Passé le barrage du sous-titrage, on oublie très vite l’identité coréenne du film dont le sujet se fait universel, donc intime. Le pari n’était pourtant pas gagné pour ce cinéaste qui a dû convaincre et se faire une place au sein du cinéma d’auteur international.

Laurastar est heureux d’avoir cru en un autre cinéma et d’être associé à Parasite, soutenant par là-même l’excellence et l’ambition, s’investissant dans un projet d’envergure internationale, à l’image de notre ADN : toujours en quête d'excellence, nous innovons sans cesse pour repousser les limites de la perfection et créer de nouvelles technologies exclusives. Par notre souci du détail, Laurastar rend chaque jour la vie de ses utilisateurs plus facile et plus belle !